Interview Cristina Alcazar

Interviews de Cristina Alcazar

 

 

* Interview 1 : TELEPROGRAMMA

 

Sur qui Marina pourra-t-elle compter ?

 

Roque est une personne fondamentale pour elle. Il semble qu'ils sont proches en étant si distincts ils communiquent bien

 

Leur relation va se compliquer ?

- oui, certes, le sida n'est pas une maladie comme bénigne . Il faut faire très attention lors des relations intimes et cela, sans doute, les conditionneRoque est une personne fondamentale pour elle. Il semble qu'ils sont proches en étant si distincts ils communiquent bien.

 

Et avec les élèves ?

Au début ils sont surpris, mais ensuite ils aident Marina a continuer de travailler à Zurbarán.

Cette situation justifie-t-elle sa manière de se comporter avec Fred ?

Non, rien à voir. Mes grandes «　luttes　» avec lui ont eu lieu parce que j‘ai des principes, et que Fred n'admet pas mes opinions. En réalité, Marina n'est pas une femme homophobe , elle suit son coeur. Roque est une personne fondamentale pour elle. Il semble qu'ils sont proches en étant si distincts ils communiquent bien.

 

 

Tu aides d'autres personnes atteinte du sida ?

Bien sur. Le sida est très oublié, il manque d’information. C'est fondamental qu'il se «　montre » au grand jour maintenant que l'on sait comment il se transmet.

Comment t'es-tu préparé ?

J'ai parlé aux gens qui travaillent avec ceux-ci, j'ai beaucoup lu. J'ai été terriblement surprise au début on m‘appelait la peste rose. Marina est si méprisante pour les homosexuels , de plus, aujourd'hui, il y a un plus grand pourcentage d'hétérosexuels infectés que de gays.

 

Cela a-t-il changé quelque chose a ta vision du sida ?

Maintenant je comprends les moments les plus durs. Par exemple, quand tu décides de le dire : avant de coucher avec quelqu'un, lors du premier baiser ,si veux-tu avoir un enfant.

Verrons-nous Marina affronter ces dilemmes dans les prochains épisodes ?

Cela m'enchanterait.

Quelles nouveautés y aura-t-il dans la prochaine saison ?

On cherche de nouveaux personnages parce que ceux qui sont présents passent à l'université et ne peuvent tous rester.

 

Tu aides d'autres personnes atteinte du sida ?

Bien sur. Le sida est très oublié, il manque d’information. C'est fondamental qu'il se «　montre　　» au grand jour maintenant que l'on sait comment il se transmet.

 

Comment t'es-tu préparé ?

J'ai parlé aux gens qui travaillent avec ceux-ci, j'ai beaucoup lu. J'ai été terriblement surprise au début on m‘appelait la peste rose. Marina est si méprisante pour les homosexuels , de plus, aujourd'hui, il y a un plus grand pourcentage d'hétérosexuels infectés que de gays.

 

 

 

 

 

Cela a-t-il changé quelque chose a ta vision du sida ?

 Maintenant je comprends les moments les plus durs. Par exemple, quand tu décides de le dire : avant de coucher avec quelqu'un, lors du premier baiser ,si veux-tu avoir un enfant.

Verrons-nous Marina affronter ces dilemmes dans les prochains épisodes ?

Cela m'enchanterait.

 

Quelles nouveautés y aura-t-il dans la prochaine saison ?

On cherche de nouveaux personnages parce que ceux qui sont présents passent à l'université et ne peuvent tous rester.

 

 

Quels projets as-tu ?

A l'automne je présenterai pour la première fois «les Perversions sexuelles» à Chicago, avec Blanca Suárez, Javier Pereira et Francisco Boira. Je participerai aussi au film «Le sommeil d'Iván» je dirigerai le court musical de «Bien que tout aille mal», avec Juanma Cifuentes, Malena Alterio, Pablo Rivero, Manuela Velasco et Concha Delgado.

 

 

Interview2: Siglo xxl

Tout d'abord, quel bilan pouvez vous faire de cette saison?
Maintenant, je suis heureuse que je suis un petit clown dans la vie ... Au début, mon personnage était très grave et stricte, alors j'ai essayé d'en tirer parti, comme je le disais, le clown que je suis, cette saison m'a donné beaucoup de liberté, alors je suis ravie, parce que Marina doit être stricte , mais c'est certainement une femme fragile, qui est très innocente ...

Que diriez-vous de votre partenaire dans la fiction, Roberto Arce, avec qui vous avez des problèmes sexuels?
Il est merveilleux, mais il est fatigué ... il est pas le dernier pour faire une blague, mais j'adore travailler avec lui et je pense que nous allons enfin être partenaire dans la série, parce que nous sommes tous les deux classiques ...  Le final sera un peu "ouvert".

Le fait que votre personnage ai le sida a été beaucoup discutée. Comment avez-vous vécu l'impact de votre personnage dans le monde réel?
La vérité est que je suis très fiere d'avoir la possibilité de représenter ces gens. Être une maladie chronique, je pense que c'est très difficile à vivre pour elle.En outre, il arrive un moment où la maladie est oubliée et nous devons nous rappeler que la vie dans ces conditions est très difficile, par exemple, à trouver un emploi, des relations ... sans parler de l'argent dépensé pour les médicaments, je crois que la sécurité sociale ne paie que 50%.

Les caractéristiques de Marina, on dit qu'elle constitue une responsabilité sociale qui exige plus de soins que les autres personnages ...
Oui, quand nous faisons des scènes avec Ana Millán (Olivia) et moi, nous aimons parler, il ya des moments où on se dit, par exemple, la fin n'a pas très claire, de peur d'être trop« bête » . Ensuite je ne sais pas , je me sens très liée au problème de Marina, je la comprends beaucoup mieux et c'est un moteur très important.

Dans la rue, est ce que quelqu'un qui a la maladie vous a déja parlé?
Jamais. Personne. Je pense que c'est parce que c'est une maladie cachée. J'aime voir l'opinion de quelqu'un qui souffre vraiment ,de savoir si je fais bien le rôle, s'ils se sentent identifiés, s'ils pensent que cela les aide ... Puis il ne faut pas oublié que c'est une fiction.

Cristina, vous qui avez fait du théâtre et qui avez une carrière bien remplie, en allant a la TV  Comment avez vous vécu le changement?
Le changement a été pour le mieux, parce que j'avais besoin de ça. Je voulais être dans  «POC» ou «Los protegidos», j'ai tout expérimenté . Je voulais faire un changement radical, car, après quatre années dans ‘Cuéntame’ j'avais besoin de quelque chose de plus moderne, d'aujourd'hui.

Quoi qu'il en soit, ce que nous avons vu, c'est que Marina est très classique, très élégante trop ...
Je l'aime, parce que je me dis, "si je n'ai rien d'autre à faire ..." Elle est toujours très bien "entretenue", vous pouvez l'inviter à tout moment à un mariage. Dans la vraie vie, je tiens à être à l'aise, maintenant je commence à porter des talons, mais j'ai mal aux pieds ...

Être dans une série,  vous vouliez vous rapprocher du public, qu'est ce qu'on vous dis dans la rue?
Quand j'étais dans "Cuentame" on  ne s'est pas rapproché de moi ... Ensuite, il ya des dames qui font des commentaires lorsque vous passez devant elles et que vous vous dites que vous n'êtes pas sourde, vous entendez des choses comme «elle n'est pas si grande".La chose la plus drôle qui m'est arrivé a été avec une petite fille de cinq ans quand elle m'a demandé de lui apprendre à lire et j'ai dû lui expliquer que j'étais une actrice.

Comment vous sentez-vous à ce sujet?
C'est un peu inconfortable, surtout parce qu'ils ne savent souvent pas quoi faire: me faire la bise, juste dire bonjour, je suis moi-même, je dois vous dire quelque chose, si je vous dis ce qui se passe ... C'est un peu compliqué, car ce n'est pas naturel c'est un peu forcé.